La généalogie (simplifiée) des Ribeaupierre

Avant le XIVe siècle, cette généalogie reste peu précise et varie selon les sources. Elle sera affinée au fur et à mesure des recherches. Par ailleurs, rappelons que l’orthographe n’est véritablement fixée qu’à partir des XVIII et XIXe siècles. A fortiori, l’écriture des noms et des prénoms est fortement marquée par les époques, la prononciation du locuteur et l’habileté scriptural de « l’écrivain » (avec les erreurs d’écriture et de lecture qui vont de pair). Ceci est particulièrement marqué en Alsace où se confrontent deux langues (français et allemand) et deux écritures (caractères latins ou romains et caractères gothiques (gebrochene Schrift). 
Ainsi, nous rencontrons souvent des variantes en fonction des archives et des auteurs consultés : Ribaupierre et Ribeaupierre – Ribauvillé et Ribeauvillé – Caspar  et Gaspard [de Ribeaupierre] – Eguénolphe et Egenolf [de Ribeaupierre]  - Cuno et Cunon [de Ribeaupierre] …
                                           

                                  

              

            
              

Sources
Benoit Jordan, Entre la gloire et la vertu, les sires de Ribeaupierre, 1451/1585 – Publications de la Société Savante d’Alsace et des régions de l’Est, collection « Recherches et documents » - 1991.
Meaume, Les seigneurs de Ribaupierre en Alsace et en Suisse - Mémoires de la Société d’archéologie Lorraine, 3esérie, vol. 1 – Nancy, 1873 – pp 337 à 429.
Bernard Schwach, Les Ribeaupierre dans leur environnement géopolitique - Cahiers d’histoire (n°1, 2, 3, 6) publiés par le Cercle en 2008 et 2010.
Fonds documentaire du Cercle.

Crédits photographiques
Peinture réalisée sur la porte des Pucelles à Ribeauvillé par Claire Meyer - Seiller

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