LES RIBEAUPIERRE A CONSERVER, A FINALISER .....

ARBRE GENEALOGIQUE DES RIBEAUPIERRE A INSERER

 

 

 

Nom, prénom,

Dates naissance / décès

Ascendance

Biographie

 

Egelolphe, Egenolf ou Eugénolphe

D’ Urselingen ou Urslingen

Dates inconnues à ce jour

Cité en 1162 et 1188

 

 

filiation non connue à ce jour

 

Sans doute originaire de Souabe, il devient seigneur de Ribauvillé, fief existant en Alsace du temps de Pépin-Ie-Bref, et qui, au XIIe siècle, relève de l’évêché de Bâle. Egelolphe reçoit l’investiture de ce fief, à titre de bénéfice, et ses héritiers prennent le nom de de Ribaupierre (en allemand Rappoltstein).

En 1178, Egelolphe livra bataille près de Logelnheim au comte de Horbourg.

 

 

Ulric Ier d’Urslingen, puis de Ribaupierre

?  - 1242 ( ?)

Cité en 1186 et 1193

 

 

Fils de Egelolphe

 

Son épouse, Bonne comtesse d’Egrsheim.

Ulric Ier eut au moins deux frères : Anselme Ier et Eugénolphe II.

Les descendants d’Anselme Ier : Henri Ier ; son fils Ulric IV n’a eu qu'une fille, Berthe, mariée à Henri Sigisbert, landgrave de l’Alsace inférieure.

 

 

Eugénolphe II de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

Cité en 1219 et 1221

 

Fils de

Ulric Ier  et de Blanche d’Ergsheim

 

 

Ulric II de Ribaupierre

1227 - 1259 (ou 1276)

 

 

Fils de

Ulric Ier  

 

Epouse vers 1220 la fille d’un comte de Castres, cousine de Mathieu II, duc de Lorraine, morte avant 1274. Ce mariage est prouvé par une charte (citée par Dom Calmet) précisant que Simon de Paroye est témoin de la vente faite par Olry (Ulric III qui suit), sire de Ribaupierre, à Renaud comte de Castres (Bliscastel, entre Deux-Ponts et Puttelange), de tout ce que ledit Olry devait espérer de la part de sa mère dans le comté de Castres (1274). 

 

 

Ulric III de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

 

 

 

On n’a sur lui aucun renseignement. On sait qu’il fut le père de Henri II. ll ne doit pas être confondu avec Ulric IV, son cousin germain.

 

 

Henri II (ou III) de Ribaupierre

? - 1313

Cité en 1260 et 1285.

 

Fils de

Ulric III

 

[pour certains auteurs, il s’agit d’Henri III.]

Epouse Elisabeth, fille de Burckard de Geroldseck. Il fonde divers établissements à Ribauvillé, notamment le couvent des Augustins en 1297 et bâtit la ville forte de Bergheim.

Un titre de 1317 indique qu’Henri cède les châteaux d’Hœnack et de Judenbourg à son neveu, fils de son frère (probablement Anselme). Il était en contestation pour l’héritage paternel, quand son frère Anselme l’expulsa de Ribeauvillé, ce qui le poussa à se ranger du côté de l’empereur et de lui prêter main-forte pour reprendre la ville de Colmar dont son aîné était l’un des défenseurs en 1293. Il reçut de l’empereur une partie des terres confisquées à son frère.

Un de ses actes indique qu’il à ce qu’il tient en fief du duché de Lorraine retourne au duc après sa mort.

Henri II (ou III) eut quatre fils, Ulric IV, Anselme II. Hermann Ier et Henri IV.

 

 

Ulrich IV de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

 

 

Fils de

Henri II

(ou III)

 

 

En 1282, Ulric IV et son frère Anselme déclarent tenir en fief du duc de Lorraine une vouerie dépendant de l’abbaye de Moyen moutiers. La postérité d’Ulric IV ne parait pas s’être continuée.

 

 

Anselme II de Ribaupierre

? / après 1338

Cité en 1298 et 1311

 

 

Fils de

Henri II

(ou III)

 

 

Anselme épouse Elisabeth, fille de Henri-Sigisbert de Werd, landgrave d'Alsace. Il en a trois fils, mais sa postérité ne s’étendit pas au-delà de ses petits-enfants. Aussi toute la seigneurie échoit-elle à Jean, fils de Henri II, et père lui-même d’Ulric VII et de Brunon.

Il prit le parti d’Albert d’Autriche contre l’empereur Adolphe de Nassau et alla concourir en 1293 à la défense de Colmar contre l’empereur élu. Fait prisonnier, ses biens furent saisis et il fut écroué au château d’Achalm en Souabe dont il ne sortit qu’en 1296. Il entra alors en possession de Guemar et fit rétablir en 1298 le château qui fut brûlé la même année. Lors de sa captivité il avait promis de construire une chapelle à Dusenbach en cas de délivrance. Il exauça ce vœu et devint aussi l’un des principaux bienfaiteurs de Saint-Jean d’Unterlinden à Colmar. S’étant réconcilié avec les Habsbourg il reçoit le château du Koenigsbourg, puis en 1314 le village d’Heiteren.

Il combat longtemps contre ses frères (attaque du château de Rappoltstein). Schœpflin dit de lui : « Anselme dit le Téméraire porta le désordre dans sa famille, chassa son frère Henri et attira sur lui les armes de deux empereurs ».

Il reconnait la suzeraineté du duc de Lorraine qui le soutenait.

 

Hermann Ier de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

Cité en 1277

 

 

Fils de

Henri II

(ou III)

 

 

Hermann Ier Anselme II sont établis châtelains de Kaisersberg par l’empereur Rodolphe II.

Hermann fait le siège d’Hohenack et s’en rend maître par ruse et par des promesses illusoires (1288), ce qui fait que le domaine de Hohenack entre pour partie dans la division de la seigneurie faite en 1294.

Un autre partage de la seigneurie a lieu en 1298 : « Lors de ce partage, dit-il, le château de Haut-Ribaupierre forma une seigneurie particulière qui comprenait la basse ville de Ribauvillé et huit autres fiefs (…). Les deux châteaux inférieurs, savoir : Grand-Ribaupierre ou Saint-Ulrich et la roche de Girsperg formèrent une seconde seigneurie et Hohenack la troisième ».

 

 

Henri IV de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

Cité en 1285 et 1312

 

 

Fils de

 Henri II

(ou III)

 

 

 

Jean 1er de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

 

 

Fils (?) de

Henri II

(ou III)

 

Recueille, du chef de son père, toute la seigneurie et épouse, vers 1320, Adélaïde, dernière fille de Thiébault II, duc de Lorraine.

     Jean aurait épousé successivement deux dames de Geroldseck et serait mort en 1363. En 1318, il assigna le palais de Guémar à sa femme Elisabeth de Geroldseck. Un acte de 1313 mentionne la vente à la maison d’Autriche du fief de Berckheim par Jean (alors fort jeune) et

Henri.

 

 

Henri V de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

 

 

Fils de

Ulrich IV

 

 

Jean II de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

Cité en 1298 et 1335

 

 

Fils de

Anselme II

 

 

Jean III de Ribaupierre

1309 - 1362

Cité en 1337 et 1358

 

 

Fils de

Henri IV

 

Il embrassa la cause de Louis de Bavière contre Frédéric le Bel dans leur rivalité pour la couronne impériale. Son fils ayant été l'auteur du pillage des abbayes de Senones et de Moyenmoutier et de la mort d'un l'abbé, le duc de Lorraine donna ordre de le ramener mort ou vif. Jean de Ribeaupierre se jeta alors au pied du duc pour obtenir le pardon pour son fils, le duc touché révoqua la sentence de mort et condamna Jean à faire amende honorable, tête nue, en chemise et une torche à la main, à donner à l’abbaye dix soudées de terre et à faire un pèlerinage à Saint-Thomas de Cantorbéry.

 

 

Jean IV de Ribaupierre

Vers 1321 - 1373

 

 

Fils de

Jean III

 

En 1341, du vivant de son père, Jean Il fit arrêter Bencelin, abbé de Moyenmoutier, et l’enferma dans son château de la Haute-Ribaupierre.

En 1344, Jean et son frère Ulric VII ont fait hommage au duc de Lorraine pour les biens qu’ils tenaient à Ribauvillé

 

 

Jean V de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

 

 

Fils de

Jean IV

 

 

Bruno ou Brunon Ier

de Ribaupierre

1344 (ou 1348) - 1398

Cité en 1344 et 1398

 

Fils de

Jean III

 

Aurait épousé en premières noces Jeanne, comtesse de Blâmont (ou de Blankenberg) et en secondes noces Agnès, dame de Granson.

En 1371 et en 1373, Brunon partage avec son frère Ulric VII les quatre villes de Rappoltstein.

Brunon obtient de l’évêché de Metz une partie de la seigneurie de Geroldseck et de l’empereur Wenceslas la vouerie de Schlestadt, avec le droit de frapper monnaie.

En juin 1387, Brunon emprisonne des Juifs soupçonnés d’avoir empoisonné un puits dans la région.

Il accompagna le duc de Bourgogne à Paris et prit du service dans l’armée prête à envahir l’Angleterre. De retour en Alsace, Brunon fit prisonnier un chevalier anglais nommé Harleston qu'il emprisonna dans le château du Haut-Rappoltstein. Le captif accepta de payer une rançon mais Brunon ne relâcha pas son prisonnier. Le roi d’Angleterre Richard II s’interposa et adressa des lettres à la ville de Strasbourg, au pape et à l’empereur. Rien n’y fit. Strasbourg ayant été sommé en 1389, de se présenter devant le conseil aulique et ayant été mis au ban de l’empire, Brunon, effrayé, mit son captif en liberté mais en se vengeant sur les Strasbourgeois en reprenant la ville de Ribeauvillé, qu’il leur avait engagée pour dettes et entra dans une ligue secrète contre la puissante cité.

En septembre 1392, le préfet impérial lança une campagne contre Strasbourg, « ce nid républicain de bourgeois insolents ». Brunon se rangea sous sa bannière. Eckbolsheim et Hausbergen furent livrés aux flammes. Des pourparlers furent entamés à Eschau. Brunon demanda 20 000 florins de dommages, le préfet impérial en demanda 100 000. De nouvelles conférences, ouvertes à Nuremberg, aboutirent à une convention, le 1er janvier 1393 et le ban de l’empire fut levé. Les Strasbourgeois s’attaquèrent ensuite à Brunon qui ne dut son salut qu’à l’intervention du duc Léopold III. Par un rescrit impérial du 28 avril 1398, Wesceleslas mit un terme au long et interminable litige entre les belligérants, et les partis furent renvoyés devant l’archevêque de Mayence. Criblé de dettes - il était débiteur de 90 000 florins - Brunon allait subir une prise de corps, quand il mourut au château du Haut-Ribeaupierre.

Brunon figure dans l’acte d’association avec Jean, duc de Lorraine.

Brunon eut quatre frères : Ulric VII, Jean V, Hugues, Henri, et cinq sœurs : Elisabeth, abbesse d’Erstein; Ida, mariée : 1° au comte de Blâmont ; 2° au baron de Ramstein ; Sophie, abbesse d’Andlau ; Susanne, mariée à Vautier de Geroldseck, et Adélaïde, morte en 1388.

 

 

Ulric VII de Ribaupierre

Vers 1320 - 1377

 

Fils de

Jean III

 

ll épouse :

l° Herzdande de Furstemberg ;

2° vers 1362, Marguerite, fille de Ferry IV, duc de Lorraine. Marguerite de Lorraine avait été mariée deux fois avant d’épouser Ulric ; elle vivait encore en 1374.

De son premier mariage, Ulric eut une fille, Herzelande, mariée : l° à Jean, comte de Habsbourg ; 2° à Henri, comte de Sarwerden ; 3° à Jean, comte de Lupllen.

 

 

Hugues de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

 

 

Fils de

Jean III

 

Aurait été grand prévôt de Strasbourg.

 

Henri de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

 

 

Fils de

Jean III

 

 

Henri aurait été chanoine.

 

Schmasmann Ier, ou Maximin Ier

1390 – 1451 (ou 1456)

 

 

Fils de

Brunon Ier

 

Epouse Elisabeth, fille de Vautier Von der Dyck.

On le trouve échanson du duc de Bourgogne en 1399, puis administrateur de l’Alsace pour l’Autriche en 1406. En 1434, il possédait Plixbourg et autres fiefs impériaux du val Saint-Grégoire.

Schœpflin : « Ce seigneur arriva à un tel degré de puissance qu’il fut sérieusement question de son mariage avec Catherine de Bourgogne, veuve de Léopold le Superbe, duc d’Autriche (…)

L’empereur Sigismond le nomma landvogt d’Alsace. C’est en cette qualité qu’il représenta le duc d'Autriche au concile de Constance. En 1421 il alla avec le contingent de troupes alsaciennes en Bohême. Lorsque s’ouvrit le concile de Bâle, il fut nommé par Sigismond avoyer de la haute assemblée avec pouvoirs illimités. Une querelle étant survenue en 1422, entre Guillaume de Girsberg un autre seigneur alsacien et Maximin, celui-ci attaqua son voisin, s’empara du manoir et tua le seigneur de Girberg, ce qui permit aux Ribeaupierre de reprendre le château de Stein qui leur avait été confisqué en 1303.

Dans un titre de 1429, Schmasmann Ier s’engage à ouvrir, sa vie durant, ses châteaux et forteresses au duc de Lorraine.

Il n'eut qu'un frère, Ulric VIII et trois sœurs : Elisabeth, mariée à Burkart de Fénétrange ; Jeanne, mariée : 1° à Volmar de Geroldseck ; 2° à Egon, comte de Kibourg ; et enfin Isabeau, mariée à Guillaume de Vergi.

Il est enterré dans l’église de l’hôpital. Par suite de ces guerres, il s’était tellement endetté, qu’à sa mort, il était décrété de prise de corps, comme l’avait été son père, et il laissa un passif de 73 000 fl.

 

 

Ulrich VIII de Ribaupierre

? - 1451

 

Fils de

Brunon Ier

 

 

On ne connaît pas, à ce jour, sa postérité.

 

 

Caspar ou Gaspar de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

 

 

Fils de

Schmasmann Ier

 

Epoux d’Imagine, comtesse de Linange, dont il eut Bruno, mort en 1513 sans postérité.

 

Guillaume 1er, dit le Grand

de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

Cité en 1434 – 1507

 

 

Fils de

Schmasmann Ier

 

Epouse Jeanne de Neuchâtel.

Il succède à son père en 1450. Il fut placé par les Archiducs, en 1476 à la tête de l’administration des possessions autrichiennes sur le Rhin. Il obtint en 1481 de l’empereur Frédéric III, le droit de chasse pour toute l’Alsace.

Quoique son père eût servi la maison de Bourgogne, Guillaume, ainsi que presque tous les seigneurs de l’Alsace, se tourna contre Charles-le-Téméraire après les batailles de Grandson et de Moral. En 1465, Guillaume entra, avec un contingent de deux cents hommes d’armes, dans la ligue contre le roi de France, Louis XI. Il ne prit aucune part active, comme préfet d’Alsace, aux démêlés qui surgirent après cette époque, entre les Suisses, les villes libres de province, le duc de Lorraine et l’Empire, pour repousser les attaques de Charles le Téméraire

Pour certains historiens, il aurait été gouverneur de Nancy lors du siège, et qu’il émit l’avis que, plutôt que de se rendre au duc de Bourgogne, on devrait manger les gens inutiles à la défense. Ce qu’il y a de certain, c’est qu’il commandait la cavalerie à la bataille de Nancy en 1477, où périt Charles-le-Téméraire, et qu’il contribua au succès de René II.

Il eut l’honneur de tenir sur les fonts de baptême Anne, fille du duc René. En 1496, il accompagna l’empereur Maximilien Ier, à son couronnement à Rome.

Il acquiert, vers 1487, la seigneurie de Geroldseck qui appartenait aux seigneurs de la Petite-Pierre. C’est seulement à partir de cette époque que les Ribaupierre ont écartelé [sur leur blason] de Geroldseck.

Guillaume Ier eut quatre frères (Gaspard, Emicon, Maximin II et Schmasmann II) et cinq sœurs : Etienette, Béatrix, Afra, Hélène et Ursule. Ces deux dernières furent religieuses à Alspach. On ne possède aucun détail sur les autres.

La postérité masculine de Guillaume s’est éteinte au XVIIe siècle

 

 

Emicon de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

 

 

Fils de

Schmasmann Ier

 

La généalogie de Kegelin est le seul document qui mentionne cet Emicon. S’il a vécu jusqu’en 1515 et s’il a laissé une postérité, il ne serait pas impossible que ces enfants fussent les auteurs des Ribaupierre Suisses.

 

Schmasmann II de Ribaupierre

? / 1515 (?)

 

 

Fils de

Schmasmann Ier

 

Frère de Guillaume-le-Grand

Schœpflin : « Schmasmann II (…) visita Jérusalem et l’Egypte en 1483 ; il avait été auparavant chambellan de Charles-le-Téméraire. »

On ignore le nom de sa femme et celui de son fils.

Il appartient à la branche dont la postérité s’est continuée jusqu’à nos jours (branche Suisse).

 

 

Maximin II de Ribaupierre

1437 - 1517

 

Fils de

Schmasmann Ier

 

 

Chambellan de Charles le Téméraire, qu’il combattit plus tard en amenant 500 chevaux au duc de Lorraine. Il se signala à la bataille de Nancy en 1477. Il fit des voyages de dévotion à Saint-Jacques-de-Compostelle et à Rome, et se rendit en 1483 en Terre Sainte sur le tombeau du Christ. À son retour en Alsace, il fit construire à Dusenbach des chapelles qui furent visitées par de nombreux fidèles. Il constitua des revenus considérables aux différentes chapelles et les fit desservir par deux prêtres résidents, auxquels il adjoignit deux frères assistants. Il mourut le 31 août 1517, âgé de 80 ans, sans postérité, n’ayant pas été marié.

 

 

?  de Ribaupierre

 

Fils de

Schmasmann II

 

 

Il est, suivant toute vraisemblance, administrateur du domaine d’Autrey, appartenant à l’un de ses parents, Guillaume V, ou François de Vergi. Guillaume V de Vergi, père de François, mourut le 16 juillet 1551.

Il appartient à la branche dont la postérité s’est continuée jusqu’à nos jours (branche Suisse).

 

 

Antoine de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

 

 

Fils du

 Précédent

 

 

Les archives de la famille de Ribaupierre établie en Suisse précisent qu’ « Antoine de Ribaupierre, venu d’Autrey (Haute—Marne) à Champvent (près de Grandson), canton de Vaud, commissaire et procureur patrimonial de l’illustre seigneur François de Vergi, comte de Champlite, seigneur et baron d’Autrey, Flogny, Jussey, Mouy, la Rochelle, Monferrand, le Pin, Arc au comté de Bourgogne, aussi seigneur de Champvent au pays de Vaud en Suisse, gouverneur et capitaine pour le roi d’Espagne en les pays de Bourgogne et du Charollais ».

Il appartient donc à la branche dont la postérité s’est continuée jusqu’à nos jours (branche Suisse).

 

 

Thimotée de Ribaupierre

Dates inconnues à ce jour

 

 

Fils d’Antoine

 

Il succède à son père, ainsi qu’il est établi dans les reconnaissances de la terre de Champvent.

Il appartient à la branche dont la postérité s’est continuée jusqu’à nos jours (branche Suisse).

 

 

Guillaume II de Ribaupierre

1468 (ou 1464) - 1547

 

Fils de

Guillaume Ier

 

Epouse, en 1490, Marguerite, comtesse de Deux-Ponts, dont il n’eut pad d’enfant..

Des plus illustres et considéré comme un des plus redoutables mais aussi comme un des plus sévères capitaines de l'époque, il obtint la faveur des empereurs Maximilien Ier, Charles Quint et Ferdinand, qu’il représenta plusieurs fois dans les diètes de l’Empire, notamment à Worms (1521) et à Augsbourg (1530). Maximilien qui le qualifiait du titre de « très cher cousin », l’éleva à la dignité de conseiller intime et de maréchal de sa cour, lui confia le port de la bannière de l’Empire et le fit chevalier de la Toison d'or..

Guillaume donna des preuves de grandes connaissances militaires au siège de Padoue en 1509. Plus tard, il est nommé landvogt d’Alsace, et reçoit de l’empereur Charles Quint, en récompense de sa bravoure, l’éperon d’or de la chevalerie. Guillaume II suivit l’empereur en Italie dans sa campagne contre les Vénitiens.

En 1511, il fait approuver par l’empereur le pacte de famille qui admettait les femmes à la succession paternelle à défaut d’héritiers mâles.

En 1515, il prend part à la guerre des paysans avec Antoine de Lorraine.

Au siège de Mantoue en 1517, il monta le premier sur la brèche. Il resta fidèle à la religion catholique. Il se couvrit de gloire dans plusieurs campagnes contre les Turcs en Hongrie.

Guillaume Il eut trois frères, dont on ignore la postérité, et deux sœurs.

Il appartient à la postérité masculine de Guillaume Ier, dit le Grand, éteinte en 1673.

 

 

Ulric IX,

seigneur de Ribaupierre, Hohnack et Geroldseck

1495 – 1531

 

 

Fils de

Guillaume II

 

 

Epouse en 1522 Anne Alexandrine de Furstenberg (1504-1581)

Il appartient à la postérité masculine de Guillaume Ier, dit le Grand, éteinte en 1673.

 

 

Egelolphe ou Eguénolphe III

Seigneur de Ribaupierre

Hohnack et Geroldseck

1527 – 1585

 

 

Fils d’

Ulrich IX

 

A peine âgé de vingt ans, Il succède à son grand-père Guillaume II dans les nombreuses seigneuries appartenant à sa famille, ayant perdu de bonne heure son père Ulric IX.

Epouse en premières noces Elisabeth, comtesse de Sayen, et en secondes noces Marie, comtesse d’Erbach, qui mourut en 1606.

Ce fut le premier des Ribaupierre à embrasser la confession d’Augsbourg, poussé par sa mère Anne-Alexandrine de Furstenberg. Il commença à établir des ministres évangéliques dans quelques-uns de ses villages et fit ensuite réformer Sainte-Marie-aux-Mines, ce qui lui valut une réprimande de l’empereur par lettres datées de Prague du 5 mars 1562. « Nous apprenons, y était-il dit, par la chambre d’Ensisheim et par notre bailli, le comte Philippe d’Eberstein que tu permets à des gens de différentes sectes, tels qu’anabaptistes, calvinistes, etc. de séjourner dans des pays soumis à notre souveraine autorité. …Nous savons aussi que tu as osé réformer dans diverses églises, contrairement à la foi que tu nous dois et aux dispositions de la confession d’Augsbourg… Nous t’ordonnons en conséquence, si tu veux éviter une mesure plus sévère d’abolir les sectes et les prédicants, et de remettre toutes choses sur l’ancien pied. » . À la suite de cette lettre, Eguénolphe rétablit les fonts baptismaux et le tabernacle. L’empereur et la régence s’étant déclarés satisfaits, il cessa de ménager les apparences et fonda une paroisse protestante dans la chapelle de la cour. Cependant, ses efforts pour pousser ses sujets à l’adoption de la Réforme avortèrent presque tous, étant obligé de garder toujours certains ménagements vis-à-vis du chef de l’Empire.

Egelolphe III a de longues discussions avec le duc de Lorraine, à l’occasion de la ville de Saint-Hypolite, qui était un fief lorrain ; ces difficultés existaient déjà du temps de Guillaume Ier, elles sont reprises en 1513 au sujet de la pêche de Saint-Hypolite et ont persisté sur le même objet jusqu’en 1571.

Il appartient à la postérité masculine de Guillaume Ier, dit le Grand, éteinte en 1673.

 

 

Everard ou Eberhard

Seigneur de Ribaupierre

Hohnack et Geroldseck

1570 – 1637

 

 

Fils d’

Eguénolphe

 

Epouse en 1589 Anne comtesse de Wild et du Rhin (1571 – 1608), puis, en deuxièmes noces Agathe comtesse de Solms.

Agé de quinze ans à la mort de son père, il est placé sous tutelle de son oncle maternel, le comte d’Erbach et du comte de Furstenberg, il fit ses premières études à Strasbourg et fréquenta plus tard l’université de Tubingue. L’archiduc Ferdinand fit enjoindre par la régence d’Ensisheim au Landrichter de Sainte-Marie-aux-Mines de suspendre le service évangélique et de fermer les deux églises d’Auf-der-Matten et d’Echéry. Eberhard fit rouvrir les églises évangéliques et calvinistes de Sainte-Marie-aux-Mines et accorda une égale protection aux deux confessions dissidentes. Pendant de longues années, il fut l’homme de confiance des Habsbourg en Alsace. Dans les années 1599 et 1601, il remplit des missions diplomatiques auprès de plusieurs princes de l’Empire au nom de Rodolphe II et en 1604 l’archiduc Maximilien le charge d’apaiser les troubles qui avaient éclaté dans le Haut-Rhin. Cependant ayant essayé, en 1613 de loger contrairement à la défense du sénat un protestant dans une maison lui appartenant Kaysersberg, le magistrat de cette ville obtint de l’empereur Mathias des lettres qui firent échouer les prétentions du comte. En 1619 il fut député en ambassade par Ferdinand II auprès de la ville de Strasbourg et il se rendit, en 1625 avec le même titre, à la cour de Lorraine. Comme soldat, il s’était distingué dans la guerre des Pays-Bas dans les armées impériales et avait vaillamment combattu contre les Turcs.

Il eut huit enfants dont six fils. Un seul a continué la postérité.

Il appartient à la postérité masculine de Guillaume Ier, dit le Grand, éteinte en 1673.

           

 

Georges Frédéric

Seigneur de Ribaupierre

Hohnack et Geroldseck

 

 

Fils d’

Eberhard

 

Il eut pour toute descendance, sa fille Anne Elisabeth de Ribaupierre

 

 

Jean-Jacques

Seigneur de Ribaupierre

Hohnack et Geroldseck

1598 - 1673

 

 

Fils d’

Eberhard

 

Il reçut une éducation très poussée. Pour ses études et ses voyages, la ville de Ribeauvillé lui octroya une subside extraordinaire en 1614, renouvelé pour trois ans en 1617 et pour cinq ans en 1620.

Epouse en 1637 Anne-Claudine, fille du comte du Rhin Otton-Louis dont il eut plusieurs enfants qui moururent dans leur enfance, à l’exception de deux filles :

-          Anne-Dorothée, morte célibataire en 1723 (ou 1725),

Catherine-Agathe, née en 1648, morte en 1683, qui fut mariée en 1667 à Chrétien II de Birkenfeld-Bischweiler comte palatin de Deux-Ponts-Birkenfeld.

Pendant la guerre de Trente Ans, le roi Louis XIII, par lettres patentes du 8 mai 1637, prit Ribeauvillé sous sa protection, ordonna à tous gouverneurs et chefs de troupes français et étrangers de tout grade de traiter favorablement le sieur de Ribeaupierre, défendit très expressément de faire loger aucune troupe dans cette ville ou d’y prendre ou enlever n’importe quoi. Personnage bien vu en cour, Jean-Jacques fut de même en faveur auprès de Louis XIV. Estimant que l’Allemagne était hors d’état de protéger l’Alsace contre l’envahissement et la conquête du roi Louis XIV, il fut l’un des premiers nobles de la province à se soumettre à la suzeraineté de la France. Il en avait été récompensé par de nombreuses faveurs et par des privilèges dont il s’est empressé de faire profiter ses sujets protestants. De là résulta pour eux une position favorable à celle des autres habitants de l’Alsace.

En 1654, l’empereur s’engagea envers le mandataire de Charles IV, duc de Lorraine, a lui remettre les prévôtés ct fief de Ribaupierre, lorsque la cession lui en aurait été faite par le sieur de Rappoltstein, à la charge que le duc les tiendrait en fief dudit empereur. Cet engagement ne reçut aucune exécution, quoiqu’il ait été renouvelé par une lettre de l’empereur Léopold de 1660.

« En 1668, Louis XIV conféra à Chrétien II tous les fiefs tant impériaux que royaux, pour les posséder après son beau-père. C’est de la que Chrétien IV, duc régnant de Deux-Ponts, petit-fils de Chrétien Il, possède de nos jours toutes les seigneuries de Rappoltstein. » (Expilly)

Ainsi la postérité de Guillaume-le-Grand existe encore, mais par les femmes seulement.

Après cinq siècles d’existence, la lignée des Ribeaupierre s’éteignit avec son décès le 28 juillet 1673, en son château de Ribeauvillé, à l’âge de 75 ans. Le 1er septembre 1673, Louis XIV se rendant à Brisach, s’arrêta à Ribeauvillé et y passa la nuit au château où le corps du comte défunt se trouvait encore.

 

 

Descendance de Jean-Jacques Seigneur de Ribaupierre

Hohnack et Geroldseck

 

 

 

Ø Catherine Agathe, comtesse de Ribeaupierre (1648-1683),

épouse, en 1667, Christian II Comte palatin de Birkenfeld, Bischwiller et Ribeaupierre (1637-1717), comte de Bischwiller (1654-1707), Comte de Birkenfeld (1654-1707), comte de Ribeaupierre (1673-1699). [lignée 1 ci-dessous]

 

Ø leur fils, Christian III de Birkenfeld-Bischwiller (1674-1735), comte de Ribeaupierre (1699-1735), comte de Bischwiller (1707-1735), comte de Birkenfeld (1717-1735), duc de Deux-Ponts (1731-1735),

épouse, en 1719, Caroline de Nassau-Sarrebruck (1704-1774).

           

Ø leur fille, Henriette Caroline de Deux-Ponts-Birkenfeld (1721-1774),

épouse, en 1741, Louis de Hesse-Darmstadt (1719-1790), comte de Hanau-Lichtenberg (1736),

Landgrave Louis IX (1768-1790).

           

Ø leur fils, Louis X de Hesse-Darmstadt (1753-1830), Louis 1er grand-duc de Hesse et du Rhin (1816-1830),

épouse, en 1777, Louise Caroline Henriette de Hesse-Darmstadt.

Ø leur fils, Louis II de Hesse (1777-1848), grand-duc (1830-1848),        

épouse, en 1804, Wilhelmine de Bade (1788-1836).

           

Ø leur fils, Alexandre de Hesse (1823-1888),

épouse, en 1851, Julie, comtesse de Hauke (1825-1895) et en 1858, comtesse de Battenberg.

 

Ø leur fils, Henri de Battenberg (1858-1896),

épouse, en 1885, Béatrice de Grande-Bretagne (1857-1944).

 

Ø leur fille, Victoria-Eugénie de Battenberg,

épouse, en  1906, Alphonse XIII d’Espagne, roi d’Espagne (1902-1931).

           

Ø leur fille, Doña Beatrize d’Espagne  (née en 1909),

épouse, en 1935, Alexandre Torlonia, prince de Civitella-Casi.

 

Ø leur fille Olympia Torlonia,

épouse Paul Annick Weiller.

           

Ø leur fille, Sibilla Sandra Weiller,

épouse à Sélestat, le 08.09.1994, Guillaume Marie Louis Christian, prince de Luxembourg.

 

 

Descendance de Jean-Jacques Seigneur de Ribaupierre

Hohnack et Geroldseck

 

 

[lignée 1]

 

Ø Jean-Jacques de Ribeaupierre, comte de Ribeaupierre (1598-1673) et d'Anne-Claudine, Wild und Rheingräfin zu Kyburg (1615-1673).

 

Ø leur fille, Catherine-Agathe, comtesse de Ribeaupierre (1648-1683),

épouse Christian II, comte palatin à Birkenfeld, Bischwiller et Ribeaupierre (1637-1717).

 

Ø leur fils [voir lignée 2], Christian III, duc régnant de Deux-Ponts (1721-1774),

épouse Caroline de Nassau-Sarrebrück (1704-1774).

 

Ø leur fille, Caroline, comtesse palatine du Rhin à Deux-Ponts-Birkenfeld (1721-1774),

épouse Louis IX, landgrave régnant de Hesse-Darmstadt (1719-1790).

 

Ø leur fille [voir lignée 5], Amélie, landgrave de Hesse-Darmstadt (1754-1832),

épouse Charles-Louis, prince héritier de Bade (1755-1801).

 

Ø leur fils, Charles, Grand-Duc de Bade (1786-1818),

épouse Stéphanie de Beauharnais, princesse Stéphanie Napoléon (1789-1860).

 

Ø leur fille, Joséphine princesse de Bade (1813-1900),

épouse Charles-Antoine, prince de Hohenzollern-Sigmaringen (1811-1885).

 

Ø leur fille, Marie, princesse de Hohenzollern-Sigmaringen (1845-1912),

épouse Philippe, comte de Flandres (1837-1905).

 

Ø leur fils, Albert Ier, roi des Belges (1875-1934),

épouse Elisabeth, duchesse de Bavière (1876-1965).

 

Ø leur fils, Léopold III, roi des Belges (1901-1983),

épouse Astrid de Suède (1905-1935).

 

Ø leurs fils, Baudouin Ier, roi des Belges, (1930-1993) et Albert II, roi des Belges, né en 1934.

 

 

Descendance de Jean-Jacques Seigneur de Ribaupierre

Hohnack et Geroldseck

 

 

[lignée 2]

 

Ø Christian III, duc régnant de Deux-Ponts (1721-1774),

Epouse Caroline de Nassau-Sarrebrück (174-1774). [voir lignée 1].

 

Ø leur fils, Frédéric Michel, comte Palatin de Birkenfeld et Ribeaupierre (1724-1767),

 épouse Marie Françoise Dorothée Christine, comtesse Palatine à Sulzbach (1725-1794). [voir lignée 3]

 

Ø leur fille, Marie-Anne, comtesse Palatine de Birkenfeld et Ribeaupierre (1753-1827),

épouse Guillaume, duc de Bavière (1752-1837).

 

Ø leur fils, Pie-Auguste, duc de Bavière (1786-837),

épouse Amélie, princesse et duchesse d'Arenberg (1789-1823).

 

Ø leur fils, Maximilien, duc de Bavière (1808-1888),

épouse Ludovique, princesse de Bavière (1808-1892).

 

Ø leur fils, Charles Théodore, duc de Bavière (1839-1909),

épouse Marie Josèphe de Bragance (1857-1943), puis Sophie, princesse de Saxe (1845-1867).

 

Ø leur fille, Elisabeth, duchesse de Bavière (1876-1965),

épouse Albert Ier, roi de Belgique. [voir lignée 1]

 

 

Descendance de Jean-Jacques Seigneur de Ribaupierre

Hohnack et Geroldseck

 

 

[lignée 3]

 

Ø Frédéric Michel, comte Palatin de Birkenfeld à Ribeaupierre (1724-1767),

épouse Marie Françoise Dorothée Christine, comtesse Palatine à Sulzbach. [voir lignée 2].

 

Ø leur fils, Maximilien-Joseph, comte régnant de Ribeaupierre, Duc de Deux-Ponts, roi de Bavière (1756-1825),

épouse Marie-Wilhelmine-Augusta, princesse de Hesse-Darmstadt (1765-1796).

 

Ø leur fille, Augusta de Bavière (1788-1851),

épouse Eugène de Beauharnais, prince Eugène-Napoléon, vice-roi d’Italie, duc de Leuchtenberg (1781-1824).

 

Ø leur fille, Joséphine de Beauharnais-Leuchtenberg (1807-1876),

épouse Oscar I, roi de Suède (1799-1859). [voir lignée 4].

 

Ø leur fils, Charles XV, roi de Suède et de Norvège (1851-1926),

épouse Louise, princesse des Pays-Bas (1828-1871)

 

Ø leur fille, Louise Joséphine Eugénie de Suède et Norvège (1851-1926),

épouse Frédéric VIII, roi de Danemark (1843-1912).

 

Ø leur fille, Ingeborg de Danemark (1878-1958),

épouse de Charles-Guillaume de Suède, duc de Westrogothie (1861-1951).

 

Ø leur fille, Astride de Suède (1905-1935),

épouse Léopold III, roi des Belges. [voir lignée 1]

 

 

Descendance de Jean-Jacques Seigneur de Ribaupierre

Hohnack et Geroldseck

 

 

[lignée 4]

 

Ø Joséphine de Beauharnais-Leuchtenberg (1807-1876),

épouse d'Oscar I, roi de Suède (1799-1859). [voir lignée 3]

 

Ø leur fils, Oscar II, roi de Suède et de Norvège (1829-1907),

épouse Sophie, princesse de Nassau-Weilbourg (1836-1913).

 

Ø leur fils, Charles Guillaume, duc de Westrogothie (1861-1951),

épouse Ingeborg de Danemark. [voir lignée 3]

 

 

Descendance de Jean-Jacques Seigneur de Ribaupierre

Hohnack et Geroldseck

 

 

[lignée 5]

 

Ø Caroline, comtesse palatine du Rhin à Deux-Ponts-Birkenfeld (1721-1774),

épouse Louis IX, landgrave régnant de Hesse-Darmstadt. [voir lignée 1]

 

Ø leur fille, Frédérique, princesse de Hesse-Darmstadt (1751-1805),

épouse Frédéric-Guillaume II, roi de Prusse (1744-1797).

 

Ø leur fils, Frédéric-Guillaume III, roi de Prusse (1770-1840),

épouse Louise, princesse de Mecklenbourg-Strelitz (1776-1810).

 

Ø leur fille, Louise, princesse de Prusse (1808-1870),

épouse Frédéric, prince des Pays-Bas (1797-1881).

 

Ø leur fille, Louise Wilhelmine, princesse des Pays-Bas (1828-1871),

épouse Charles XV, roi de Suède et de Norvège. [voir lignée 3]

 

 

Jordan :

  

Sources :

  • Baquet - L’Alsace ancienne et moderne - [cité par Meaume].
  • Bigot - Histoire de Lorraine - tome V.
  • Cayon, Jean - Mathieu Husson, l'Écossais. Tableau des noms contenus dans Le simple Crayon de la noblesse des duchés de Lorraine, de Bar et des trois évêchés – 1858.
  • Chévrier - Histoire de Lorraine [cité par Meaume].
  • Dom Calmet - Histoire de Lorraine - 1756 [cité par Meaume].
  • Dufourny – inventaire des manuscrits de la bibliothèque de Nancy et du Trésor des Chartres – Layette Ribaupierre, 1897 [cité par Meaume].
  • Expilly, [cité par Meaume].
  • Kegelin - Généalogie manuscrite [cité par Meaume].
  • Kleindienst, Jean-Louis - Histoire des familles Ribeaupierre – Cercle de Recherche Historique de Ribeauvillé et Environs.
  • Meaume, M. E. - Les seigneurs de Ribaupierre : famille de la chevalerie lorraine en alsace et en suisse - Mémoire de la Société d’archéologie de Lorraine et du musée historique lorrain - Troisième série, Ier volume – Nancy, 1873.
  • Schœpflin, Alsacia Illustrata – 1761.
  • Stoffel, M. - Dictionnaire topographique du Haut-Rhin - Paris, 1868.

 

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